LE GLORIEUX EVANGILE ETERNEL

Publié le par Arsenio

 


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LE GLORIEUX EVANGILE ETERNEL
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Selon la Parole de Dieu


Première Impression, 1996

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"LET THERE BE LIGHT" MINISTRIES
PO BOX 328
ROUGUE RIVER, OR  97537
U.S.A.


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LE GLORIEUX EVANGILE ETERNEL
Selon la Parole de Dieu


     Il y a aussi nombreux « d’évangiles » qui sont prêchés, crus, et annoncés aujourd’hui comme de sont les différentes persuasion religieuses.  Tous ces « évangiles » ne peuvent être vrais, parce qu’ils se contredisent d’une manière les uns les autres.  Comment le chercheur moyen peut-il distinguer lequel des « évangile est vrai pour éviter de perdre son temps à suivre une contrefaçon d’évangile ?  La réponse à cette question est simple ; Nous devons faire recours à la Sainte Bible de Dieu là où se trouve le véritable évangile, et par-là prouver tout ce que disent les hommes par la Parole de Dieu.
     Dieu nous dit :
     « A la loi et au témoignage !  Si l’on ne parle pas ainsi, il n’y aura point de l’aurore pour le peuple ». Esaïe 8:20.

     La Bible est la parole inspirée de Dieu conduit à la destruction, et pour nous montrer le chemin juste qui mène à la vie éternelle.  Cette Parole Sainte ne fut pas écrite des hommes méchants et rusés, mais par des hommes Saints de Dieu « poussés par le Saint-Esprit » (2 Pierre 1:21).  La meilleure traduction pour une bonne étude est la KING JAMES ou version LOUIS SEGOND.  Ainsi, c’est en examinant la parole de Dieu que l’homme peut comprendre ce qu’est le vrai évangile.  Et toute Ecriture, pas seulement une partie, toute Ecriture est inspirée de Dieu, et elle constitue la base, le fondement de toute doctrine, pour reprocher, pour la correction de nos erreurs, et pour instruction dans la justice (1).


     Ainsi, que Dieu dit-il de l’Evangile à travers sa Sainte Bible ?  L’Evangile littéralement signifie apporter de bonnes nouvelles à d’autres (2).  Mais de quelle sorte de bonnes nouvelles s’agit-il (3) ? L’Evangile concernant le salut des hommes.  Mais pourquoi les hommes ont-ils besoin du salut ?  Pour une réponse à cette question, nous devons retourner au tout début de l’histoire de cette terre.  Lorsque Dieu créa le monde, il le créa dans une beauté parfaite, très charmant (4).  Dans ce monde parfait, Dieu créa et plaça Adam et Eve (5).  Ils étaient parfaits, aussi bien physiquement, mentalement, et spirituellement.  Dieu avait affectueusement fourni tout dont ils ont besoin pour leur bonheur total.  Tout ceci leur fut gracieusement accordé sous une condition.
     « L’Eternel Dieu donna cet ordre à l’homme : tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras ». Genèse 2:16–17.

     Mais Adam et Eve avait désobéi à Dieu et avaient choisi de manger du fruit de cet arbre défendu, et ainsi ils avaient brisé et transgressé la parole ou la loi de Dieu et avaient commis le péché (6).  Ils tombèrent du coup de leur position haute et élevée de justice, et tombèrent sous la pénalité du péché, qui est la mort (7).

     Puisque Dieu n’avait pas poussé Adam et Eve a brisé sa loi et commettre le péché, qui alors est l’auteur et responsable de l’existence du péché et le mort ?  Lucifer, ou encore Satan, le diable (8).

     La Bible révèle que puisque l’humanité avait choisi de pécher en désobéissant à Dieu, leur Créateur et l’Auteur de la vie, et avaient transgressé sa loi, deux choses majeurs se passèrent.

1. Adam et Eve tous deux tombèrent sous la contrôle de Satan.  Ils devaient demeurer éternellement ses esclaves et mener une vie misérable et une existence misérable en esclavage au péché.  Ils ne pourront plus suivre la volonté de Dieu, parce que Satan est maintenant leur roi et gouverneur (9) ?

2. Le péché ne peut demeurer en présence de Dieu sous subir la destruction par sa gloire et son brillant éclat.  Ainsi, l’humanité entière faisait face à une séparation éternelle de Dieu leur Roi tendre (10).

     Mais Dieu ne pouvait-il pas par amour pour les hommes, simplement altérer ou changer sa parole et sa loi afin de sauver les hommes du résultat du péché et la transgression dans sa loi ?  Non ceci parce que Dieu ne peut mentir ; il ne change pas de propos ou altérer sa volonté pour convenir aux circonstances ; Il n’est pas un Dieu à deux faces, ni est-il hypocrite (11).
     Il nous dit ouvertement :
     « Je ne violerai pas mon alliance.  Et je ne changerai pas ce qui est sorti de mes lèvres ». Psaumes 89:34.

     Nous savons ainsi que Dieu est celui-là qui ne trahira ses créatures.  Il est un Dieu en qui nous pouvons placer notre confiance entière et savoir que nous demeurer en sécurité dans ses mains (12).
     Si Dieu a pu altérer ou changer sa loi afin de sauver l’humanité dans leurs péchés, ceci démontrera qu’il avait fait une erreur en donnant aux hommes une loi qu’ils ne peuvent observer.  Ainsi, au lieu de Satan, c’est plutôt Dieu qui sera tenu responsable de l’existence du péché !  Et cela entraînera la chute du royaume et du gouvernement de Dieu ; Satan serait justifié dans sa rébellion.  De là, Dieu ne pourrait changer ou altérer même un seul commandement de sa loi dans ce but de sauver les hommes dans leurs péchés.
     Mais n’abandonna pas sa création éternellement séparée de lui.  (La source de vie) pour être éternellement serviteurs de Lucifer (l’instigateur de tout mort), dans un esclavage éternel au péché et la mort sans aucun espoir de jamais plus revenir à l’harmonie avec Dieu, avec sa loi, et une heureuse communion avec lui.  Dieu ne permettra pas le triomphe infini de Satan, mais il fournit à un prix inégalable, un chemin de salut à quiconque souhaite rompre avec l’emprise du Diable et revenir an harmonie avec Dieu.  Ce moyen de salut fut exposé à l’instant même quand l’homme avait choisi commettre le péché.
     « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre la postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon ». Genèse 3:15.

     Qui est cette « postérité » de la femme qui écrasera la tête de Satan, ou bien triomphera et le surmontera, et ensuite donner à l’humanité un moyen d’échapper cet ennemi si fort redoutable ?  Cette personne, c’est Jésus-Christ (13).  Et, qui est Jésus-Christ ?  C’est le Fils du Dieu vivant (14).
     Dieu le Père a tant aimé les hommes qu’il a payés volontairement le plus grand prix possible pour nous sauver, il donna son Fils unique Jésus-Christ, un moyen d’échapper, délivrés du péché, de Satan et de la mort éternelle.
     « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu ’il ait la vie éternelle.  Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour le monde soit sauvé....C’est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour ». Jean 3:16–17; 6:40.

     La transgression du commandement et a loi de Dieu nous avions séparé du Père, et nous n’étions plus en harmonie mais plutôt en inimitié avec lui et avec la justice.  Nos péchés avait creusé un grand fossé et un gouffre entre Dieu et nous (15).  Mais, par l’intermédiaire de Jésus-Christ, le lien entre Dieu et l’homme (16).  Le Père a pourvu un moyen par lequel nous pouvons être en inimitié avec le péché et avec Satan, et ainsi ramène en communion et harmonie avec notre Père.  Qu’est-ce que Dieu pouvait-il donner de plus pour démontrer le degré de son amour pour nous, autre que son propre Fils ?  Quelle sorte d’affection est ici démontrée ?
     « Je t’aime d’un amour éternel, c’est pourquoi je te conserve ma bonté ». Jérémie 31:3.

     Raison pour laquelle le véritable évangile s’articule autour de Jésus, et non Boudha, ou Krishro, ou Confucius, ou Maitreya, ou tout autre homme, mais Jésus (17).  Jésus de Nazareth seul est l’ultime révélation de l’amour éternel du Père pour vous et moi (18).
     « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie.  Nul ne vient au Père que par moi....Celui qui m’a vu a vu le Père... » Jean 14:6, 9.

     Mais, comment Jésus a-t-il obtenu pour nous une échappatoire ?  Il a initié une alliance éternelle avec Dieu le Père, pour la rédemption des hommes (19).
     Lorsque l’humanité avait choisi transgresser le loi de Dieu et commettre le péché, la mort fut le résultat.  Mais la sentence ne fut pas immédiatement exécutée parce que le Père avait volontairement permis à son unique Fils de souffrir comme substitut cette pénalité de mort à la place de l’homme.  Une alliance éternelle avait été conclue entre le Père et le Fils pour notre rédemption.  Jésus donnerait sa vie comme sacrifice à la place de la nôtre !  Il avait accepté être tué, et son sang versé, afin de pourvoir à l’humanité déchue une chance de revenir au Père.  De là, Adam et Eve pouvaient être sauvés.  Ainsi, en essence, Jésus fut immolé dès la fondation de ce monde (20).
     Cela signifie que Jésus-Christ existait avant même qu’Adam et Eve aient péché, parce qu’il avait offert sa vie pour racheter l’homme des fondations, ou le commencement du monde.  Et c’est exactement ce que les Ecritures révèlent (21).  En effet le monde et tout ce qui y est, a été crée par Jésus-Christ !
     « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.  Elle était au commencement avec Dieu.  Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle ». Jean 1:1–3.

     « [Dieu] dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi crée le monde... » Hébreux 1:2.

     Ainsi, cet Evangile glorieux avait été aussi prêché à Adam et Eve après le péché ce qui leur avait pourvu un moyen d’échapper de la mort certaine.  Ce fut en effet pour ce couple, une bonne nouvelle !
     Aussi, pour montrer le caractère grave et terrible de la transgression de la loi éternelle et inchangeable de Dieu (22), et nous diriger vers Jésus comme notre sacrifice pour le péché, Dieu fit établir un système qui impliquait le sacrifice d’un agneau innocent.  Cet animal docile devait être tué et son sang chaque fois que la loi de Dieu est violée et le péché commis par une personne.  Le système de sacrifice avait été révélé à Adam et Eve et aux générations après eux (23).  Ce fut le symbole du sacrifice de Jésus pour nos péchés.  Le système symbolique à l’instar d’une ombre, montrait au sacrifice réel lorsque Jésus s’offrirait comme agneau et de son sang versé, payer la rançon du péché de l’humanité (24).  Ainsi, ce symbole de sacrifice et tous ces préceptes et lois renforçaient l’Evangile, et symboliquement révèle Jésus comme notre seul espoir de salut.

     Ce même Evangile avait été prêché à Abraham, et avait préfiguré le temps quand Jésus descendrait du ciel et se donnerait en substitut aux péchés, et porter la sentence de mort sur Lui-même, et pourvoir aux hommes le seul moyen d’échapper de l’esclavage de Satan (25).

     Après l’Exode de l’Egypte, Dieu donna à son peuple, deux catégories de lois.  Il donna de nouveau sa loi éternelle qui ne connaît pas de changement, en la prononçant à l’entendement de tout son peuple (26), et de ses propres mains (27), Il l’écrivit afin que nul n’oublie et n’ignore ces dix commandements (28).  Et, ensuite, Dieu donna encore Son système de sacrifice avec toutes ses lois et les fit écrire par Moïse dans un livre (29).
     Ainsi, Dieu prononça et écrivit Ses dix commandements, mais avait laissé à Moïse le soin de rédiger les lois sacrificielles et cérémoniales.  Dieu le fit ainsi pour montrer une distinction entre ces deux catégories de lois ou commandements.  Et pour plus de distinction, le témoignage ou les dix commandements avaient été mis dans l’arche de l’alliance juste en- dessous du siège de la miséricorde (30), signifiant que le pardon sera accordé à ceux qui avaient transgressé les dix commandements de Dieu.  Les lois sacrificielles sont quant à elles placées à côté de l’arche (31), signifiant que ces lois étaient d’une durée temporaire.
     Tout ce système cérémonial et sacrificiel avait été fondé et centrait sur le Christ.  Même le prêtre officiant, qui mettait le sang de l’agneau tué sur l’autel pour l’expiration des péchés commis, représentait ou symbolisait le Christ.  Ainsi, lorsque l’on s’étonnera la raison du sacrifice d’un agneau sans tâche et innocent pour expirer le péché des hommes, les pensées ne tourneraient que vers Jésus !  Ainsi, l’Evangile était en prédication continuelle en symbole à travers toute l’histoire.

     Cet Evangile alors prêché en symbole ou ombragé resta en vigueur jusqu’à ce que le temps arriva à Christ de quitter le trône de Son Père et sa demeure glorieuse, se dépouille de sa couronne et habits royaux, quitter sa position d’autorité et d’honneur de la cour céleste, abandonnant toutes les révérences et adoration des anges, puis descendre dans ce monde sombre, tout flétri et gâché de la malédiction du péché (32).
     « [Jésus-Christ] lequel existait en forme de Dieu, mais s’est dépouillé Lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix ». Philippiens 2:6-8.

     Ceci est vraiment un mystère !
     « Et sans contredit, le mystère de la piété est grand : celui qui a été manifesté en chair, justifié par l’Esprit, vu des anges, prêché aux Gentils, cru dans le monde, élevé dans la gloire ». 1 Timothée 3:16.

     Pourquoi le Fils de Dieu devrait-t-il descendre sur cette terre et se faire naître pareil à un bébé faible ?
     « Elle [Marie] enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés ». Mathieu 1:21.

     Mais comment Jésus allait –il sauver les hommes de leurs péchés, et leur procurer la vie éternelle ?
     « Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces.  Lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraudes... » 1 Pierre 2:21-22.

     Jésus fut un modèle ou un exemple ou encore une copie à imiter par tous les hommes afin d’obtenir la vie éternelle à travers la croyance en Lui (33).  Ainsi, en regardant à Jésus l’auteur de notre foi (34), et lorsque nous examinons Sa vie , nous pouvons avoir l’idée exacte de ce dont nous avons besoin de faire ou copier dans notre vie.  Quel fut le thème de la vie de Christ ?
     « Je veux faire la volonté, mon Dieu !  Et ta loi est au fond de mon cœur ». Psaumes 40:8.

     Pourquoi Jésus garda-t’il la loi ou la parole de son Père dans son cœur ?
     « J’ai gardé ta parole dans mon cœur afin de ne point pécher contre toi ». Psaume 119:11.

     « Parce que la parole du roi est puissante... » Ecclésiates 8:4.

     Ainsi, Christ choisi la loi de Dieu écrite dans son cœur, obtenant par là la grâce et la force divine pour lui éviter de la transgresser et commettre le péché.
     Jésus-Christ a-t-il vécu toute sa vie en conformité totale et obéissance à la loi éternelle et commandements de Son père sans avoir brisé un seul et sans avoir commis le péché à aucun moment ?  Certes (35) !  Les Ecritures nous révèlent que Christ avait été tenté à faire le mal et commettre le péché à chaque étape de Sa vie (36).
     Mais, Dieu peut-il subir l’épreuve d’une tentation faire le mal et commettre le péché ?  Nom (37).  Pourtant Jésus fut tenté de faire ces choses –là !  Ainsi dit, quelle nature Jésus devait-il posséder lorsqu’il était sur terre pour mener sa vie tout entière et donner à l’humanité un exemple et modèle parfait d’obéissance sans transgressé les commandements de Son Père ?  Jésus avait vécu sa vie vêtu de la nature humaine.
     Jésus était à la fois Dieu (38) et à la fois homme (39) à la fois (40).  Mais Jésus n’avait pas choisi vivre vêtu de la Divinité alors qu’il était sur terre parce que nous n’aurions pas pu endurer Son éclat et Sa gloire.  Il choisit envelopper Sa Divinité et sa gloire en prenant sur lui notre nature humaine afin de pouvoir habiter en nous comme un avec nous.

     Jésus a-t-il vécu et vaincu la tentation et le péché dans la nature non –chutée dont les anges sont vêtus et qu’Adam avait avant de pécher ?  Ou bien dans la nature que vous et moi nous possédons ?
     « Car assurément ce n’est pas à des anges qu’il vient en aide, mais c’est à la postérité d’Ahabram ». Hébreux 2:16.

     Christ n’avait pas pris sur Lui la nature non déchue, mais il prit sur lui la nature déchue que possède tous les hommes après qu’Abraham ait péché, la même nature que possédaient Abraham et David et que nous possédions tous (41).
     « En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu’il fût et fidèle dans le service de Dieu pour expiation des péchés pour le peuple ». Hebreux 2:17.


     Ceci signifie que notre Sauveur avait pris sur lui la nature de l’homme pécheur et ainsi sentant toute la pression des désirs et des inclinaisons intérieures (42) qui attirent les hommes à commettre le péché, tout comme nous l’expérimentons vous et moi (43).  Mais Christ, en s’appuyant constamment sur la puissance et la gloire de son Père (44) ne se donnant pas même un seul instant, aux tentations de satan et à son inclinaison intérieur à péché, pas dans le moindre détail (45).  Il condamna le péché dans Son corps (46) et avait suivi parfaitement la loi et la volonté de Dieu (47).  Pourquoi Christ devrait-il prendre ou porter la nature déchue de l’homme ?  Afin de sentir ou faire l’expérience de ce qui vous et moi nous traversons lorsque nous sommes tentés et Il s’aura nous aider quand nous sommes tentés, et par là aussi démontrer que la loi de Dieu peut être observée, dans la nature de l’homme déchue, sans avoir à la transgresser.  Christ fut ainsi capable de nous consoler et nous aider à vaincre les tentations.
     « Car ayant été lui-même dans ce qu’il a souffert, il peur secourir ceux qui sont tentés ». Hébreux 2:18.

     « Je puis tout par Christ qui me fortifie ». Phillippiens 4:13.

     A la naissance, Christ avait été parfait et Sans un trait de péché (48).  Mais il ne possédait pas un caractère complet préfabriqué (49).  Il devait tout comme vous et moi le développer et l’orienter dans la justice en apprenant l’obéissance à Dieu et à sa loi (50).  Jésus avait appris l’obéissance et avait développé Son caractère dans la justice et la droiture en résistant aux tentations, en s’abstenant de se donner aux inclinaisons de la nature déchue de l’homme qu’il arrivait prise sur Lui.  Il devait se refusé de soumettre s volonté les serviteur (51), ne pas plaire à Soi (52), mais suivre la volonté de Son père en toutes chose.  Des luttes internes sévères étaient survenues dans sa nature déchue parce que Christ s’était résolu à refuser de faire son plaisir.  Mais en s’appuyant sur la force de Son Père, Il avait pu en tout temps maintenu sa fidélité envers Dieu et ses commandements, et vaincre tout mal.  Ainsi Christ développa son caractère dans la perfection à travers les choses qu’il a souffertes parce qu’il arrivait affiché un non recevoir à la tentation et au péché (53).
     « C’est lui qui dans les jours de sa chair, ayant présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et ayant été exaucé à cause de sa piété, a appris, bien qu’il fut Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes, et qui après avoir été élevé à la perfection, sont devenus pour tous ceux qui lui obéissent l’auteur d’un salut éternel... » Hébreux 5:7-9.

     « Car il convenait pour lui, à cause de qui sont toutes choses et par qui sont toutes choses, qu’amenant plusieurs fils à la gloire, il consommât le chef d’e leur salut par des souffrances ». Hebreux 2:10.

     Christ été demeuré obéissant jusqu’à la mort même la mort de la croix cruelle (54).  Ainsi, il a pourvu à tous les hommes d’un parfait exemple et modèle de la victoire sur chaque et toute sorte de tentation comme Lui.
     « Car nous n’avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses, au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché ». Hébreux 4:15.

     Ainsi, Jésus, notre sauveur et Rédempteur n’est pas éloigné de l’humanité (55), mais il avait choisi se rapprocher de vous et moi, il avait choisi devenir comme l’un de nous afin de connaître les luttes internes que traversons en essayant de résister aux tentations !  Il devint une partie intégrante de l’humanité pour nous arracher du péché vers Lui, pour nous « Sauver de nos péchés » et non dans nos péchés (56) !  Et, il prêtera toujours l’oreille à la prière de ceux qui le cherchent et en sincérité à lui (57).
     Christ notre Créateur était volontairement s’humilier en devenant l’un de sa propre création.  Plus encore, il s’est abaissé davantage en se faisant naître dans la plus base classe de la société, un enfant de la classe de pauvre ouvrier (58); élevé dans une ville méchante (59); et appartenir à une race qui était sous la domination d’une nation conquérante (60).  Il n’a pas choisi la famille royale ou du riche, mais plutôt il a choisi devenir un avec les pauvres.  Quelle a été le degré de l’humilité consentie par notre sauveur ?  Une humilité infiniment haute !  Et nul ne pourra plus faire la difficile expérience de pauvreté, difficulté, malheur ou tentation que ne l’avait fait Christ.  Christ avait volontairement décidé faire tout ceci pour nous afin d’atteindre les profondeurs de la dégradation et le malheur de l’humanité, et ainsi être à même de lever l’humanité à voir leur Dieu et Père !  Quel degré d’amour est ici démontré en faveur des hommes ?  Un amour infini !
     Par la foi en Jésus-Christ, la liaison entre Dieu et l’homme, nous pouvons être justifiés devant Dieu (61), obtenir la grâce et la force de tenir (62), combattants contre et victorieusement vaincre toutes les tentations et péchés (63) vers la justice (64) par le Christ (65) qui nous fortifie (66).


     Dieu repoussera-t-il quelqu’un s’il venait à Lui en toute humilité et sincérité ?  Non !  Notre Père et son Fils Jésus ne repousseront personne, quel que soit ce qu’il avait fait à d’autres ou quel que soit le niveau des péchés qui avaient été accumulés contre eux !
     « Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi ». Jean 6:37.

     « C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui... » Hébreux 7:25.

     Jésus-Christ nous a sauvés de la destruction éternelle (67) en ou ramenant en la faveur et en la communion avec le Père éternel et a sa parole ou loi éternelle (68).  Notre Père n’est pas désireux de punir ceux qui pèchent d’une mort furieuse (69), mais plutôt il se réjouit au sujet de chaque personne qui lui donne son cœur (70) !  Et si nous demeurons fidèles à Dieu jusqu’à la fin, alors nous récolterons la vie éternelle, et non la mort éternelle (71).  C’est en réalité une bonne nouvelle de grande joie !
     Dieu le Fils devint un de sa création afin de condamner tout péché dans la nature déchue de l’homme (72), montrant et prouvant à tous que lorsque les hommes (vous et moi) s’unissent avec la divinité( la puissance de dieu), le péché ne trouve plus de place (73).  Par la foi en Christ, nous ne sommes plus obligés de commettre le péché !
     « Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participant de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise ». 2 Pierre 1:3-4.

     « Quiconque est né de Dieu ne commet point de péché ; car sa semence demeure en lui, et il ne commet point de péché, parce qu’il est né de Dieu....Nous que quiconque est né de Dieu ne commet point de péché mais celui qui est né de Dieu se garde et le méchant ne le touche point ». 1 Jean 3:9, 5:18.

     Par un amour infini pour vous et moi, Christ a pris sur lui nos péchés, se faisant pécheur pour nous (74).  Christ avait été frappé pour nos péchés, il avait été blessé pour notre transgression de la loi de Dieu.  Il prit sur lui nos injustices, afin de nous donner sa justice.  Il avait été frappé et avait reçu coups, afin que nous soyons guérir (75).  Il prit la mort qui était la nôtre, afin de ne procurer la vie qui était la sienne.
     « Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont nous détournons le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas.  Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées.  C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé.  Et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.  Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités.  Le châtiment qui nous donne l’est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.  Nous étions tout errants comme des brebis.  Chacun suivait sa propre voie.  Et l’Eternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous ». Esaïe 53:3-6.

     Christ choisit mourir volontairement sur croix méchante et tué comme un agneau innocent et verser son sang précieux afin de ratifier l’alliance éternelle conclue avec Son Père et faire la paix entre Dieu et l’homme (76).  Sa mort accomplit et mit fin au système sacrificiel et cérémonies qui préfiguraient l’Agneau de Dieu (77), afin de devenir notre grand Prêtre (78) et notre Avocat et défenseur auprès du Père (79).  Ainsi Christ serait en mesure de porter ou enlever les péchés du monde entier (80), et purifier, de son sang précieux (81), tous ceux qui confessent et abandonnent tous leurs péchés (82) et s écartent de toutes injustices (83).  Ainsi, nous serions délivrés de l’esclavage du mal (84), et nous ramener à notre Père (85).
     La mort de Christ sur la croix n’a fait que cesser les lois sacrificielles et cérémoniales qu’avait rédigé Moïse.  Mais la mort de christ n’a pas aboli, changé ou dans le moindre détail, altérer les dix commandements de Dieu.  En réalité, la mort de Christ est un argument incontournable en faveur de l’immuabilité des dix commandements de Dieu, que ces commandements restent en vigueur de nos jours !  Car, si Dieu a pu changer sa loi, alors Christ ne se serait pas sacrifié et mourir pour la transgression de la part de l’humanité, la loi de Dieu.

     Christ avait déclaré que la loi de Dieu en aucun cas ne passera jusqu’à ce que le ciel et la terre passent.
     « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes, je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir.  Car je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un iota ou un seul trait de lettre de la loi jusqu’à ce que tout soit arrivé ». Mathieu 5:17-18.

     Même après la mort de Christ, l’apôtre Paul devait réitérer que les dix commandements étaient « Saints, justes, et bons » (voir Rom. 7:12).  Paul déclarait aussi que si les dix commandements devaient subir un changement, ils devaient l’avoir été avant la mort de Christ, et non après, tout comme un testament, qui doit s’il y a lieu, subir un changement avant la mort du testateur, et non après sa mort (86).  Puisque Christ n’a pas changé les dix commandements avant sa mort sur le calvaire, et même les avait déclarés inchangeables dans le moindre détail, alors, les dix commandements de Dieu demeurent en toute vigueur aujourd’hui à ceux qui veulent être des serviteurs fidèles à Dieu (87).  Le quatrième commandement en particulier reste en vigueur de nos jours !
     Le saint Sabbat de l ‘Eternel est le septième jour de la Semaine ou Samedi, et non le Dimanche qui est le premier jour de la semaine (88).  Beaucoup de bons Chrétiens croient sincèrement que le Sabbat de l’Eternel a été transféré de Samedi à dimanche après la mort de Christ en l’honneur à la résurrection.  Mais la bible n’enseigne pas une telle chose.
     Même après la résurrection de Christ, Paul déclarait que l’unique jour de Sabbat que doivent observer ses enfants est le même jour de repos que Dieu avait établi en Eden, le septième jour de la semaine !
     « Car il a parlé quelque part ainsi du septième jour.  Et Dieu se reposa de toutes ses œuvres...Dieu fixe de nouveau un jour...Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu.  Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes.  Efforçons –nous donc d’entrer dans ce repos, afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance ». Hébreux 4:4, 7, 9-11.

     Jésus s’était déclaré être le maître du Sabbat (89), et il demeure aujourd’hui le maître du même jour de Sabbat !  En effet, si nous essayons d’éliminer les dix commandements de Dieu sous prétexte qu’ils avaient été cloués à la croix, alors nous éliminons aussi le Christ comme notre Sauveur !

     Ce n’est que par la loi que le péché peut être connu (90).  Ainsi, quand nous éliminons la loi, alors nul ne sera coupable de péché (91).  Et si nul n’est coupable de péché, alors nul ne subira la peine de mort (92).  Alors quel besoin aurions-nous de Christ comme sauveur du péché et de la mort ?  Alors quel besoin aurions-nous de Christ comme notre sauveur ?  Aussi, quelle serait l’utilité des prédicateurs et les ministres et la religion, dont l’unique occupation est de nous amener au salut de Christ ?  Nous pouvons clairement voir qu’abolir une quelconque partie de la loi de Dieu, entraînerait le rejet de Christ et la nécessité de la religion.  Ainsi, pour quelqu’un de se réclamer de serviteur de Christ, et néanmoins affirmer que la loi de Dieu est abolie, équivaut à saper le foie qu’il prétend maintenir et le rejet du Sauveur qu’il prétend être le serviteur !   Ce ne sont pas les dix commandements de Dieu qui avaient été cloués à la croix, mais plutôt les lois sacrificielles et les ordonnances cérémonials, parce que celles-ci avaient trouvé leur accomplissement en Christ comme Sacrifice et Grand Prêtre (93).  De là, tous les dix commandements, lesquels Dieu avait écris de sa main sur deux tables de pierres, restent en vigueur aujourd’hui.
     « Anéantissons-nous donc la loi par la foi ?  Loin de là !  Au contraire, nous confirmons la loi ». Romains 3:31.

     Dieu veut écrire ses lois éternelles sur les tables de nos pensées et de nos cœurs (94).  Et avec cette nouvelle alliance, l’expérience de la nouvelle naissance nous servirons et obéirons à Dieu d’un tout entier, choisissant ne pas lui désobéir, mais résolus à résister au diable et plus commettre de péché (95).

     Mais cette loi de Dieu n’a aucune capacité en elle pour sauver l’homme.  L’unique occupation de la loi de Dieu est de révéler ou montrer le péché dans notre vie et de là, nous condamner coupable de mort (96).  Cette connaissance du péché révélée par la loi, nous conduit vers Jésus, qui seul est capable de nous Sauver du péché et de la mort (97).
     Cependant, tout comme du temps de Jésus il y a deux mille ans, beaucoup de serviteur professant de Christ le rejette aujourd’hui.  Ils refusent d’observer tous les commandements de Dieu et se débarrasser du péché, parce qu’ils désirent continuer de vivre dans le péché !  Mais un vrai Chrétien est mort au péché, et vit pour Christ, un vrai chrétien ne rend pas service au péché et ne vit pas dans le péché, mais plutôt servent et vivent en Christ (98).

(Voire part II)

Publié dans La Bible

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